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archiduc, la fierté et l'espoir des armées autrichiennes, s'était retiré derrière le Meuhr rivière, et semblait être totalement sans les moyens de couvrir Vienne. Il y avait, cependant, des circonstances moins favorables aux Français, qui demandent à être précisées. Lorsque la campagne a commencé, le général français Joubert a été posté avec sa division dans les gorges du Tyrol-dessus Trent, sur le même Levisa rivière, la ligne de ce qui avait été perdu et gagné durant l'hiver précédent. louboutin chaussures Il était opposé par l'autrichien Kerpen généraux et Laudon, qui, à part quelques régiments réguliers, avait recueilli autour d'eux un certain nombre de milices tyroliennes, qui ont parmi leurs propres montagnes ont été au moins aussi redoutable. Ils sont restés à regarder les uns les autres pendant la première partie de la campagne, mais le gain de la bataille du Tagliamento fut le signal de Joubert pour commencer l'offensive. Ses orientations ont été de Nouveau Arrivées pousser son chemin à travers le Tyrol à Brixen, à quel endroit il pourrait s'attendre Napoléon entendre des nouvelles de l'avance du mensonge français: les armées du Rhin, à coopérer en mars sur Vienne. Mais le Directoire, craignant peut-être à faire confiance à près toute la force de la République dans les mains d'un général tel succès et si ambitieux que Napoléon, n'avaient pas rempli leurs promesses à cet égard. chaussures louboutin L'armée de Moreau n'avait pas encore franchi le Rhin. Joubert, donc déçus de son objet promis, commença à se trouver dans une situation embarrassante. Le pays tout entier était en insurrection autour de lui, et une retraite dans la ligne par laquelle il avait avancé, pourrait avoir l'exposait à une grande perte, si elle n'est pas à la destruction. Il résolut donc, d'échapper à l'ennemi, et en descendant la Drave rivière, pour parvenir à une jonction avec son Napoléon commandant en chef. Il a accompli sa Mars difficiles en brisant les ponts derrière lui, et ainsi arrêter les progrès de l'ennemi, mais Christian Louboutin Pompes ce fut avec difficulté, et non sans perte, qu'il opéré son projet d'union, et sa retraite du Tyrol a donné esprits infinies pour ne pas seulement à la tyrolienne martiaux, mais à tous les fauteurs d'Autriche dans le nord de l'Italie. Le général autrichien Laudon sortirent du Tyrol à la tête d'une force considérable, et obligea le corps svelte de la langue française lmder Balland, pour s'enfermer dans les garnisons, et leurs adversaires étaient pour le moment encore seigneurs d'une partie de la Lombardie. Ils ont également réoccupé Trieste et de Fiume, qui Bonaparte n'avait pu suffisamment pour la garnison, de sorte que l'arrière de l'armée française semblait être Frank869111103


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